La loi Courard, par l’instauration de la motion de méfiance constructive est-elle perverse dans ses effets ou réaliste ? Autrement dit, fallait-il autoriser le divorce ou fallait-il imposer à l’ancien pacte de majorité un dialogue de crise au sein du collège communal ?
La consultation populaire réclamée tardivement sur le hall sportif (et ?) culturel était-elle l’alibi à la prise de pouvoir ?
La consultation populaire donnera-t-elle à la nouvelle majorité, la légitimité électorale qu’elle n’a pas ? Un « référendum » sans objet à haut risque ?
Le nouveau pacte de majorité sait-il où il va ou la prise de pouvoir était-elle l’unique finalité de l’Aventure ?
Peut-on construire sur la défiance ? Un bourgmestre en sursis ? Sa remplaçante ferait-elle l’objet d’une seconde motion de défiance, cette fois personnelle ?
La volte-face récurrente risque-t-elle de devenir un mode de gestion à Rouvroy ? L’exemple du hall sportif et culturel, l’exemple de la place de la gare à Lamorteau, …
Quid de l’avenir des finances communales dans la tourmente d’une crise locale et internationale ?
Quid de l’avenir des commissions consultatives mises en place par l’ancienne majorité ? Le citoyen sera-t-il écouté ou devra-t-il se taire ?
Des questions, des réponses, non exhaustives…
Le 10/02/2009, dc, Dpcrt.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire